Cellulite et ménopause : comprendre les causes et découvrir les solutions qui fonctionnent vraiment après 45 ans
Après 45 ans, de nombreuses femmes constatent l’apparition ou l’aggravation de la cellulite, un phénomène aussi courant que naturel. Ce changement, souvent source d’inquiétude ou de gêne, s’explique en grande partie par les changements hormonaux liés à la ménopause impactant le transit intestinal. Pourtant, il est important de rappeler que la cellulite n’est pas une fatalité ni un signe de mauvaise santé : elle touche la grande majorité des femmes, quel que soit leur mode de vie. Dans cet article, nous allons expliquer en toute simplicité les liens entre la ménopause et la cellulite, tout en vous proposant des solutions concrètes et réalistes pour en limiter les effets au quotidien. Avec quelques ajustements et une meilleure compréhension du corps, il est tout à fait possible de retrouver confiance en soi et de vivre cette étape de la vie avec sérénité.

Qu’est-ce que la cellulite ?
Définition
La cellulite, loin d’être un simple défaut esthétique, résulte de modifications profondes dans le tissu sous-cutané, en particulier chez les femmes. Elle se forme dans l’hypoderme, où les cellules graisseuses sont cloisonnées par des fibres de tissu conjonctif appelées septa. Chez les femmes, ces septa sont verticales, facilitant la poussée des graisses vers la surface et donnant à la peau son aspect irrégulier. À cela s’ajoutent des facteurs aggravants comme une mauvaise circulation, une rétention d’eau et une inflammation chronique, qui contribuent à rigidifier les tissus et à accentuer le relief cutané. On distingue principalement trois types de cellulite : adipeuse (liée à l’accumulation de graisse), aqueuse (due à la rétention d’eau), et fibreuse (plus dure, liée à une fibrose des tissus). Selon l'étude de Len Kravitz, et al (2010), publiée dans Cellulite: A Review of its Anatomy, Physiology and Treatment 1 Une prise en charge efficace implique donc une approche globale, agissant sur la structure des tissus, la circulation et l’inflammation.
Localisations fréquentes
La cellulite se localise principalement sur les cuisses, les fesses, les hanches et le ventre, des zones où le tissu adipeux est naturellement plus présent chez la femme. Cette répartition spécifique s’explique par l’influence des hormones féminines, en particulier les œstrogènes, qui favorisent le stockage des graisses dans la partie basse du corps (graisse gynoïde). Les variations hormonales, comme celles observées lors de la puberté, de la grossesse, de la prise de contraceptifs ou de la ménopause, accentuent ce phénomène et expliquent pourquoi la cellulite touche majoritairement les femmes.
La génétique joue également un rôle clé : certaines femmes sont naturellement prédisposées à stocker davantage de graisses sous-cutanées dans ces zones, indépendamment de leur poids ou de leur mode de vie. Ainsi, même les femmes minces peuvent présenter de la cellulite, car il s’agit avant tout d’une question de structure du tissu cutané et de sensibilité hormonale.
Lien entre ménopause et cellulite
Rappel des changements hormonaux
La transition ménopausique s'accompagne de modifications physiologiques significatives, notamment une diminution des œstrogènes, qui influence la répartition des graisses et le métabolisme énergétique. Cette baisse hormonale entraîne une redistribution des graisses corporelles, favorisant l'accumulation de tissu adipeux au niveau abdominal. Parallèlement, une réduction de la masse musculaire (masse maigre) est observée, contribuant à une diminution du métabolisme de base. Ces changements augmentent le risque de maladies métaboliques et cardiovasculaires chez les femmes postménopausées. L'étude de E T Poehlman et A Tchernof (1998), publiée dans Coronary artery disease 2 souligne l'importance de maintenir une activité physique régulière pour atténuer ces effets et préserver la santé globale.
Conséquences sur le corps
La ménopause entraîne une baisse significative des œstrogènes, ce qui impacte la peau et favorise l'apparition de la cellulite. Cette diminution hormonale réduit la production de collagène et d'élastine, rendant la peau plus fine, moins élastique et plus sujette aux rides. Par ailleurs, selon l'étude de Marta Leszco (2014), publiée dans Menopause Review 3 , la microcirculation se dégrade, diminuant l'apport en nutriments et en oxygène, et le drainage lymphatique s'affaiblit, contribuant à la rétention d'eau durant la ménopause, et à l'apparition de la cellulite.
Pourquoi la cellulite s’aggrave à la ménopause ?
Déséquilibres hormonaux
Chez les femmes préménopausées, des niveaux élevés d'œstrogènes favorisent une accumulation de graisse dans les régions sous-cutanées telles que les hanches, les fesses et les cuisses, conduisant à une silhouette gynoïde. Cette distribution est associée à un risque métabolique plus faible. Après la ménopause, la diminution des niveaux d'œstrogènes entraîne une redistribution des graisses vers la région abdominale, augmentant ainsi la graisse viscérale, qui est liée à un risque accru de maladies métaboliques.
Les œstrogènes agissent en se fixant sur des récepteurs spécifiques présents dans la graisse du corps. Une fois activés, ces récepteurs modifient le comportement des cellules graisseuses : ils favorisent leur développement et leur multiplication. Les œstrogènes influencent aussi la façon dont la graisse est stockée et utilisée. Ils encouragent le stockage des graisses dans les zones comme les hanches et les cuisses (tissus sous-cutanés), tout en limitant leur dégradation, selon l'étude de Keiko Shimono, et al (2005), publiée dans Molecular Basis of Cell and Developmental Biology 4 . Résultat : les graisses ont tendance à s’accumuler dans ces régions plutôt que dans le ventre.
Impact du mode de vie
Le manque d’activité physique diminue la circulation sanguine et lymphatique, ce qui peut favoriser la rétention d’eau, la stagnation des toxines et l’inflammation locale, tous des facteurs aggravant l’apparence de la cellulite. Selon l'étude de Amy Roeder (2025), publiée dans Harvard T. H. CHAN 5 , à la ménopause, la perte musculaire accentue aussi la visibilité de la cellulite.
A la ménopause, une alimentation riche en sucres rapides, en sel et en aliments ultra-transformés augmente l'inflammation et le stockage des graisses sous-cutanées. Cela perturbe le collagène et rend la peau moins ferme, ce qui favorise l’apparition de la cellulite, surtout quand les œstrogènes baissent à la ménopause.
Le manque de sommeil dérègle les hormones de l’appétit (ghréline/leptine), augmente les envies de sucre et favorise la prise de poids. Il accentue aussi l’inflammation et ralentit la régénération du tissu conjonctif, ce qui peut aggraver la cellulite.
Zoom sur le rôle du cortisol
Le stress élève les niveaux de cortisol, une hormone qui favorise le stockage des graisses et la dégradation du collagène. Selon l'étude de Maureen Salamon (2022), publiée dans Harvard Health Publishing 6 , cela aggrave la texture de la peau et rend la cellulite plus visible.
Quelles solutions naturelles et efficaces contre la cellulite à la ménopause
Alimentation anti-cellulite
Une consommation excessive de sucre et de produits ultra-transformés favorise la prise de masse grasse, notamment sous-cutanée, là où se loge la cellulite. Le sucre provoque aussi un phénomène appelé glycation, qui rigidifie les fibres de collagène, rendant la peau moins souple et plus irrégulière. Le sel, quant à lui, aggrave la rétention d’eau, créant un gonflement des tissus autour des cellules graisseuses et accentuant ainsi l'effet peau d'orange. Réduire ces apports permet de limiter l’inflammation et d’améliorer l’aspect de la peau.
Les protéines jouent un rôle essentiel dans la construction musculaire et le maintien de la fermeté des tissus. À la ménopause, la masse musculaire a tendance à diminuer, ce qui affaiblit le soutien sous-cutané et rend la cellulite plus visible. Consommer régulièrement des protéines maigres (œufs, volailles, poissons blancs, légumineuses) aide à maintenir une bonne tonicité musculaire, à soutenir le métabolisme, et donc à améliorer l’aspect général de la peau.
Les antioxydants contenus dans les légumes (comme les épinards, le brocoli, les poivrons ou la betterave) aident à protéger les cellules de la peau contre le stress oxydatif, un facteur qui altère la qualité des tissus conjonctifs. En plus, ces légumes sont riches en fibres et en eau, favorisant l’élimination des toxines et la réduction de la rétention d’eau. Cela contribue à une peau plus lisse et à une meilleure élasticité des tissus.
Les oméga-3 ont un effet anti-inflammatoire puissant. Présents dans les poissons gras (sardines, maquereau), les graines de lin, les noix et certaines huiles (colza, lin), ils améliorent la souplesse des membranes cellulaires et la circulation sanguine. Une meilleure circulation permet d’éviter la stagnation dans les tissus, un des mécanismes clés de la formation de la cellulite. De plus, ces bonnes graisses aident à préserver l’hydratation et l’élasticité de la peau.
Une bonne hydratation est essentielle pour assurer une circulation fluide et éliminer efficacement les toxines par les reins et le foie. En cas de déshydratation, le corps retient plus facilement l’eau dans les tissus, accentuant la cellulite. Soutenir le foie avec des aliments détoxifiants comme le citron, l’artichaut, le radis noir ou le curcuma, aide aussi à mieux drainer l’organisme. Cela permet de désengorger les tissus, d'affiner leur apparence, et de renforcer la clarté et la tonicité de la peau.
Les conseils de la diet’
Intégrer quotidiennement une portion de fruits antioxydants de saison de préférence ou surgelés !
- Les baies (myrtilles, framboises, mûres, groseilles): Ces fruits sont particulièrement riches en anthocyanines, des antioxydants puissants qui aident à protéger les cellules des dommages causés par les radicaux libres. Les myrtilles sont souvent considérées comme l'un des fruits les plus antioxydants.
- Les grenades: Elles sont remplies de polyphénols, notamment de punicalagines, qui ont des propriétés anti-inflammatoires et antioxydantes. La grenade est excellente pour la santé cardiovasculaire et la peau.
- Les raisins noirs: Riches en resvératrol, un antioxydant puissant, les raisins noirs peuvent aider à protéger le corps contre le vieillissement prématuré et les maladies chroniques.
- Les pommes: Surtout avec la peau, les pommes contiennent des flavonoïdes et des quercétines, qui sont des antioxydants réputés pour leurs effets anti-inflammatoires et protecteurs sur les cellules.
- Les kiwis: Ils sont très riches en vitamine C, un antioxydant essentiel qui aide à neutraliser les radicaux libres et à soutenir le système immunitaire.
- Les cerises: Elles sont remplies d' anthocyanines et de quercétine, des antioxydants qui aident à combattre l'inflammation et à prévenir les dommages oxydatifs.
- Les oranges et agrumes: Ils sont connus pour leur teneur élevée en vitamine C et en flavonoïdes, qui aident à protéger contre les maladies cardiovasculaires et à renforcer la peau.
- Les prunes: Elles contiennent une combinaison de vitamine C, flavonoïdes et acides phénoliques, qui sont des antioxydants excellents pour soutenir la santé cellulaire et protéger le corps du stress oxydatif.
- Les mangues: Elles sont riches en vitamine A, vitamine C et caroténoïdes, les mangues sont de puissants antioxydants qui aident à améliorer la santé de la peau et à réduire l'inflammation.
- Les pêches et nectarines: Ces fruits contiennent des flavonoïdes, des vitamines A et C et des acides phénoliques, qui apportent une protection antioxydante à la peau et au système immunitaire.
Les autres stratégies nutritionnelles de la diet
- Intégrer une huile anti inflammatoire et riche en Oméga 3 dans son alimentation tous les jours et la consommer crue : huile de noix , huile de lin , graines de chia
- Manger des légumes tous les jours pour l’apport en fibres , la régulation de la glycémie et l’effet sur la composition corporelle
- Bien s’hydrater et boire de l’eau , des tisanes , du thé
- Avoir une alimentation la moins transformée possible.Cela permettra de limiter l’inflammation, l’exposition aux polluants , aux auxiliaires technologiques , aux polluants éternels
Activité physique ciblée
L’activité physique joue un rôle déterminant dans la gestion de la cellulite à la ménopause, notamment en raison des changements hormonaux favorisant le stockage des graisses et l’inflammation. Plusieurs études ont mis en évidence que l’exercice, même modéré, agit à différents niveaux. Tout d’abord, l’activité aérobique régulière, comme la marche rapide, le vélo ou la natation, contribue significativement à la réduction de la masse grasse totale et sous-cutanée, notamment au niveau des cuisses et de l’abdomen — deux zones particulièrement touchées par la cellulite chez les femmes ménopausées. Cela a été démontré dans une étude menée par Friedenreich et al. (2015), qui a comparé l’effet de différents volumes d’exercices sur la composition corporelle chez des femmes ménopausées. Selon l'étude de Elisa V. Bandera, et al (2015), publiée dans Jama Oncology 7 , les femmes pratiquant une activité plus intensive ont observé une plus grande diminution de leur masse grasse et un meilleur remodelage corporel.
En parallèle, l’activité physique régulière aide à moduler l’inflammation chronique de bas grade, très souvent présente après la ménopause, et impliquée dans l’aggravation de la cellulite. Une autre étude du même groupe de chercheurs a montré que l’exercice physique réduit significativement certains marqueurs inflammatoires, contribuant à une meilleure santé des tissus conjonctifs et à une réduction de la rétention d’eau.
Enfin, l’association du renforcement musculaire avec des exercices plus doux comme le yoga, le stretching ou le Pilates est particulièrement bénéfique. Le renforcement préserve la masse maigre, essentielle au maintien d’une bonne tonicité cutanée, tandis que les activités douces favorisent la circulation sanguine et lymphatique, améliorant le drainage des tissus et l’aspect de la peau. Ainsi, une approche complète combinant cardio modéré, musculation et relâchement postural agit en synergie pour prévenir et atténuer la cellulite à la ménopause.
Ce qu’il faut éviter pour limiter ou atténuer l’apparition de cellulite à la ménopause
Les régimes très restrictifs promettent une perte de poids rapide, mais cette perte se fait souvent au détriment de la masse musculaire. Or, c’est justement le muscle qui aide à tendre la peau et à limiter l'effet peau d'orange. Moins de muscle signifie moins de soutien pour les tissus, ce qui rend la cellulite plus visible. De plus, après un régime trop strict, le corps réagit souvent en stockant davantage de graisse lors de la reprise alimentaire, aggravant encore la situation. Le programme Linecoaching est une manière douce et adaptée de perdre du poids durant la ménopause.
Si l’activité physique est essentielle, elle doit être progressive et adaptée. Trop d'exercices intensifs ou mal répartis peuvent générer du stress oxydatif, des inflammations ou des blessures musculaires, ce qui perturbe la récupération et peut même favoriser la rétention d’eau et l’aggravation de la cellulite. L’objectif est de renforcer, tonifier, relancer la circulation… pas de s’épuiser. L’écoute du corps et la régularité priment sur l’intensité.
Crèmes, ventouses, appareils vibrants, patches... . Beaucoup de produits prétendent "éliminer" la cellulite sans le moindre effort. Si certains peuvent temporairement stimuler la circulation ou drainer l’eau, leurs effets sont superficiels et non durables, surtout s’ils ne s’accompagnent pas d’une alimentation saine et d’un mode de vie actif. À ce jour, aucune solution magique n'a démontré une efficacité significative sur le long terme selon les critères scientifiques rigoureux.
Les messages autour de la cellulite sont souvent négatifs, stigmatisants, voire humiliants, surtout envers les femmes à la ménopause. Cette pression sociale peut générer du stress, de la honte ou une mauvaise image de soi, autant de facteurs qui perturbent l’équilibre hormonal et favorisent les comportements alimentaires désorganisés. L’objectif ne doit pas être la perfection, mais le bien-être global, la santé et l’acceptation de soi dans sa singularité.
Accepter son corps tout en agissant avec bienveillance
La ménopause est une période de transformations profondes, et il est important de se rappeler que chaque changement dans notre corps est une étape vers une nouvelle forme de bien-être. Revaloriser son corps à cette étape de la vie ne signifie pas chercher à retrouver un corps "d’avant", mais plutôt accepter les changements et les voir comme une opportunité de prendre soin de soi autrement. L’approche la plus efficace pour cette transformation est globale, combinant une nutrition équilibrée qui est un allié contre la prise de poids à la ménopause, une activité physique régulière, des soins adaptés et un état d’esprit positif.
La clé réside dans la régularité : il ne s'agit pas d'une course contre la montre, mais de petits efforts quotidiens qui s'additionnent avec le temps. Le plaisir dans les efforts est aussi essentiel. Il ne faut pas considérer l’activité physique ou une alimentation saine comme une contrainte, mais comme un moyen de se reconnecter avec son corps et d’en prendre soin avec bienveillance. Chaque effort, chaque choix positif nourrit non seulement la santé, mais aussi la confiance et l'acceptation de soi. Le plus important à retenir est qu’il n’existe pas de modèle unique : il faut trouver ce qui nous convient à nous, sans jugement ni pression, pour que le corps et l’esprit se renforcent.
- 1L'étude de Len Kravitz, et al (2010), publiée dans Cellulite: A Review of its Anatomy, Physiology and Treatment
- 2L'étude de E T Poehlman et A Tchernof (1998), publiée dans Coronary artery disease
- 3L'étude de Marta Leszco (2014), publiée dans Menopause Review
- 4L'étude de Keiko Shimono, et al (2005), publiée dans Molecular Basis of Cell and Developmental Biology
- 5L'étude de Amy Roeder (2025), publiée dans Harvard T. H. CHAN
- 6L'étude de Maureen Salamon (2022), publiée dans Harvard Health Publishing
- 7L'étude de Elisa V. Bandera, et al (2015), publiée dans Jama Oncology
Conclusion
La cellulite à la ménopause n’est vraiment pas une fatalité. En comprenant mieux les mécanismes qui sous-tendent ces transformations, nous pouvons agir de manière plus sereine et bienveillante envers notre corps. Chaque petit geste, chaque choix positif que l’on fait, qu’il s’agisse de bouger un peu plus, de mieux s’hydrater, ou d’accepter ces petites imperfections a un impact immense sur notre confort et notre bien-être. L’objectif n’est pas d’atteindre un idéal irréaliste, mais de se sentir bien dans sa peau, pleine de vitalité et d’amour pour soi. Parce qu’au fond, chaque étape de la vie mérite d’être vécue avec bienveillance et gratitude envers son corps, qui fait de son mieux à chaque instant. Alors, embrassez ce parcours, chaque progrès compte et vous êtes déjà incroyable telle que vous êtes. Servez vous du programme ThéraFémina pour puiser les connaissances nécessaires et adopter les habitudes qui vous permettront de mieux vivre cette période de transition.
Sources:
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